Sorties du week-end : la sélection Misk

Sorties du week-end : la sélection Misk

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Il fait gris, mais on ne va pas se laisser abattre et entrer en mode hibernation ! pas question de rester cloîtrés chez nous. C’est le week-end, et notre devise est toujours la même : profiter à fond.

Voici la sélection Misk de tout ce que vous pouvez faire pour égayer votre fin de semaine.


 

Samedi tout est permis

 

-Ballerina à la médiathèque de l’Institut français de Tunisie :

La fin de la semaine est propice aux sorties en famille, et pour les petits à partir de trois ans, une projection du film d’animation Ballerina d’Eric Summer et Eric Warin aura lieu à la médiathèque de l’Institut français se Tunisie.

Sorti en 2016, le film raconte l’histoire de Félicie, une jeune orpheline bretonne qui n’a qu’une passion : la danse. Avec son meilleur ami Victor qui aimerait devenir un grand inventeur, ils mettent au point un plan rocambolesque pour s’échapper de l’orphelinat, direction Paris, ville lumière et sa Tour Eiffel en construction ! Félicie devra se battre comme jamais, se dépasser et apprendre de ses erreurs pour réaliser son rêve le plus fou : devenir danseuse étoile à l’Opéra de Paris…

La projection a lieu à 14 h.

 

-» Fil de soi » de Kaouther Jellazi à la galerie Kalysté :

À la galerie Kalysté, vous pouvez voir l’exposition de Kaouther Jellazi, intitulée « Fil de soi ».

 « Le fil de soi qu’a tissé “Kassou” tout autour et parmi ses corps, nous entraîne dans la toile arachnéenne qu’elle a tissée et nous invite à voir autrement, en nous-mêmes et dans l’autre. »

L’exposition se poursuit jusqu’au 4 mars à la galerie Kalysté à la Soukra.

 

-Film Nahid, Ciné-Club Hammam-Lif :

Le ciné-club Hammam-Lif propose une projection du film iranien Nahid, de Ida Panahandeh, avec Sareh Bayat, Pejman Bazeghi et Navid Mohammadzadeh.

Le film raconte l’histoire de Nahid, jeune divorcée qui vit seule avec son fils de 10 ans dans une petite ville au bord de la mer Caspienne. Selon la tradition iranienne, la garde de l’enfant revient au père, mais ce dernier a accepté de la céder à son ex-femme à condition qu’elle ne se remarie pas. La rencontre de Nahid avec un nouvel homme qui l’aime passionnément et veut l’épouser va bouleverser sa vie de femme et de mère.

La projection a lieu à 15 h au Ciné-Club de Hammam-Lif.

 

-GMBR au Carpe Diem :

La soirée, c’est détente, musique et beaucoup de bonne ambiance. Le Carpe Diem vous propose la musique de GMBR et un After-Work avec Youcri Tounci.

 

-« Au suivant » au Rio :

Au Rio, à 19 h 30, vous pouvez voir la comédie musicale « Au suivant » avec un texte de Habib Bel Hedi et une mise en scène de Lassaad Ben Abdallah.

La comédie se passe dans un café chantant de Bab Souika et raconte l’histoire de Mehrez, un militant destourien confronté à une crise financière causée par le départ de son épouse et de sa belle-famille de confession juive après les événements de la guerre de six jours en 1967.

Le texte est de Habib Belhedi et la mise en scène de Lassaâd Ben Abdallah.

"المغروم يجدّد: فسحة في زمن جميل لم يكتمل جماله

 

 

Dimanche, on prolonge le week-end :

 

-The Shape of Water à l’Agora :

Rien ne vaut une petite séance de cinéma pour finir le week-end en beauté.

À l’Agora, vous pouvez voir un film qui a beaucoup fait parler de lui, The Shape of Water de Guillermo del Toro, avec Sally Hawkins, Michael Shannon et Richard Jenkins.

Le film a remporté plusieurs prix, dont le Lion d’or à la Mostra de Venise et les prix du meilleur réalisateur et de la meilleure musique aux Golden Globes 2018.

 

Synopsis :

Modeste employée d’un laboratoire gouvernemental ultrasecret, Elisa mène une existence solitaire, d’autant plus isolée qu’elle est muette. Sa vie bascule à jamais lorsqu’elle et sa collègue Zelda découvrent une expérience encore plus secrète que les autres…

 

La projection a lieu à 19 h à l’Agora.

 

-Exposition Amen d’Amine Landoulsi à La maison de l’image :

À la maison de l’Image, vous pouvez aller voir « Amen », la première exposition personnelle d’Amine Landoulsi.

Dans cette exposition de photos prises entre 2011 et 2018, « au plus près des tensions et des revirements qui rythment la transition politique tunisienne, Landoulsi nous livre des photographies paradoxalement calmes et retenues. “

L’exposition se poursuit jusqu’au 22 mars.